BOIS “LA VAGUE”

Rédaction de communiqué de presse, le 20 Février 2025 – Derniers jours de présentation de l’exposition BOIS « LA VAGUE ». 20 artistes sculpteurs et sculptrices sur bois et céramique sont présents jusqu’au dimanche 23 février 2025 pour le finissage. Dans un espace de danse éphémère nommé Mélodie en sous-sol est présentée la scénographie pour une Exposition-Spectacle d’Olivier DE SCHRYNMAKERS.

« LA VAGUE » Haute en couleurs ! La danse macabre du 7ème continent !

Une performance exceptionnelle de la chorégraphe Hélène COURVOISIER de la compagnie Contre les Murs sera proposée à 16 h et 18 h samedi 22 février à la galerie Ménil 8 8 rue Boyer Ménilmontant la rue de la Maroquinerie et la Bellevilloise

contact 06 63 79 95 21

“Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas, mais sa tâche est peut-être plus grande, elle consiste à empêcher que le monde se défasse. ” Discours de suède d’Albert Camus lors de la remise du prix nobel 1957

Suite à l’écriture d’une série d’articles avec le Conservatoire National des Arts et Métiers la recherche s’est poursuivie par une création-spectacle sur le thème de “la danse macabre du 7ème continent”. Partant d’un imaginaire issu d’une peinture murale, la Danse Macabre datant de 1424 fait se mouvoir avec ironie, les squelettes avec les vivants figés dans leur statut social. La peinture originelle sous-titrée d’un texte d’avertissement, donne une portée contemporaine à une création artistique qui fait appel à tous les arts, avec pour base les conceptions ironiques et morales de la Danse macabre.

La Danse macabre, en lien avec une catastrophe écologique actuelle dénommée le 7ème continent dénonce l’accumulation de déchets plastiques s’étalant dans plusieurs océans. Porté par le 7ème continent, le mouvement de la danse est constitué par les monstres marins d’aujourd’hui. C’est une fresque contemporaine soutenue par la musique et la poésie où la danse se propose d’être le mouvement et un hymne à la peinture. L’écriture commence toujours par des images et c’est la peinture qui est sacralisée. Ce besoin d’être au bord du précipice pour se sentir vivre sera-t-il le déclencheur d’une action de sauvetage ?

La recherche de musique, de textes, de poésie, de danseurs et danseuses ainsi que la dramaturgie sont la partie sensible de la création. Votre soutien est nécessaire pour la réalisation de ce projet dont c’est ici la première étape. Ecrire à [email protected] pour toute proposition. Projet de l’association ARTCONTRECULTURE sur Instagram.

L’article est publié sur la plateforme de recherche HAL.