Découvrez ce qu’il en dit ci-dessous:
« Par nature, j’aime inventer des histoires loufoques, des situations extravagantes, aller voir ce qui se passe de l’autre côté du miroir cher à Lewis Carroll, faire un trou de gruyère dans le canevas trop rigide de la réalité pour regarder qu’est ce qu’on y voit derrière le décor. J’ai remarqué que la plupart des gens adorent cela. Ils sont toujours réjouis qu’on les attrape ainsi dans une pince à sucre pour les sortir du quotidien et les aspirer vers d’autres royaumes. L’humour est une bonne passerelle vers ces territoires élastiques où la raison rend son tablier et se dissout en milliards de confettis épars
J’ai écrit « Arrête donc de prendre du hachisch » dans cet esprit. Une chanson mahousse dingo à même de toucher tous les publics. Les smoking, les no smoking et ceux qui se situent sur une voie médiane, péniches tranquilles naviguant entre deux écluses.
Ce qui est étrange, cest que la chanson parle réellement à tous les publics, plaisant aussi bien à ceux qui fument (et enfument l’atmosphère) qu’aux autres. Elle fait même rire les arrières grands- mères comme les enfants.
Du coup, le message passe !
Ah oui au fait, la chanson a-t-elle un message ? En d’autres mots : le hachisch, il en pense quoi le baladin ? Hmm Menue est l’estime pour Marie-Jeanne et ses feuilles de thé. Ça ratiboise les narines, ça dépose un fumet nauséabond sur le tapis de coquillage de la plage abandonnée, ça
fait vibrer les oreilles dans le sens contraire de la marée haute. Je suis sûr que ça décolle le papier peint mais qu’on nous le cache. Je trouve aussi que ça donne un goût de savon à la soupe à l’oignon.
Qu’on se le dise !”
Pour plus d’information, contacter Agnès au 01 44 74 61 68 ou [email protected]
visitez http://www.nonaladrogue.org
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.